dimanche 24 août 2014

El Cerro de las Tres Cruces

Dimanche matin, de bonne heure, nous sommes partis faire une petite marche, direction el Cerro de las Tres Cruces (autrement dit, les Montagne aux Trois Croix), une petite montagne juste à côté de Cali.


L'ascension nous a pris un peu moins d'une heure, avec certains bouts plus fatigants que d'autres.


Apparemment, nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée.

 
Mais la vue était plutôt sympa.

Un poil plus grand que Neuchâtel
Les trois croix en question

En haut, il y a tout ce qu'il faut pour les fous qui auraient encore le courage de faire de l'exercice.

Oui, nous sommes fous
Et ça nous fait rire

La descente était encore plus spectaculaire que la montée, je vous laisse en juger.



 




lundi 18 août 2014

Cali

Nous avons pris l'avion direction Cali, la ville d'origine du Coso.
En bus, le trajet dure une dizaine d'heures.

En avion, ça nous a pris vingt minutes.


Comme je n'ai pas fait de photos en ville, je vous laisse une petite vidéo d'un groupe emblématique de salsa caleña, comme ça vous avez les images et le son, car Cali est une ville qui vibre au rythme de la salsa.



Nous avons passé une dizaine de jours dans la maison de la maman du Coso, qui est actuellement en Suisse, où habitent une des soeurs du Coso et una amie de longue date de la famille.

La maman du Coso recueille des chiens maltraités ou abandonnés, qui ont tous une histoire plus ou moins affreuse. Des chiens utilisés dans des combats, attachés dans un coin sans rien à manger, utilisés pour se défouler, mutilés à la machette, ou des chiennes saillies à outrance pour ensuite être jetées dans un caniveau quand elles ne sont plus fertiles ; c'est des fois à se demander si on peut encore avoir foi dans le genre humain.

Avec tout ce monde, la vie dans la maison est plutôt animée.

Des fois, c'est un peu compliqué de trouver une place où s'asseoir :

El Gordo, Martín et les fesses de Tata.
 
Voire une place où dormir :

Kyra et Martín


Mais les chiens sont de bons spectateurs et les fans # 1 du Coso :

Martín

El Gordo et Tata très attentifs
 
Il y en a des petits :

Emily


Comment ça, Lola n'a pas l'air d'aimer mes bisous ?

Et des grands :

El Gordo, la Negra, Suzanne et Martín


Ce qui est sûr, c'est que malgré tout ce qui leur est arrivé, ils ont de la chance d'avoir été recueillis par ma belle-maman. Et le plus fou, c'est qu'ils ont tous l'air d'en être conscients.

Je vous laisse avec une photo de Lola qui le montre malgré sa floutteur (ou floutitude, c'est selon).


mardi 12 août 2014

Bogotá

Le vol, à la manière de la plupart des vols transatlantiques que j'ai pu prendre, a été long et ennuyeux. Et c'est évidemment lorsque j'ai eu envie de dormir qu'un troupeau de cinquantenaires avinés parlant une langue proche du suisse-allemand a décidé de se réunir juste à côté de nous pour se raconter des blagues (ou du moins quelque chose qui les faisait rire extrêmement fort).

Mais bref, passons.

On est finalement bien arrivés à Bogotá, puis à l'hôtel, même si on avait oublié de noter l'adresse et d'imprimer notre réservation (il y a des fois où notre cerveau ne marche qu'à moitié).

Le lendemain matin, le Coso se faisait déjà son premier ami.




On n'a pas fait grand chose pendant ces deux jours à Bogotá, il a principalement fait froid, brouillardeux et pluvieux.

Cette photo est assez moche, mais c'est la seule que j'ai de Bogotá


C'était donc le temps idéal pour faire un petit tour au Museo del Oro (où il n'y avait, finalement, pas que des trucs en or).


Les ancêtres du Coso avaient un peu l'esprit mal tourné parfois, mais au moins ils l'assumaient




 





 
Ca, c'est spécialement pour Sophie, parce qu'apparemment à l'époque il y avait aussi des hululophiles

Au soir du deuxième jour, il était déjà l'heure de reprendre l'avion. Pour ne pas devoir repayer un taxi, nous avons décidé de tenter d'aller à l'aéroport en bus. A Bogotá, il existe un système de bus qui ressemble un peu à un métro à ciel ouvert, avec des bus à la place des trains: le TransMilenio. On paie pour rentrer dans une "station", mais une fois qu'on est à l'intérieur on peut changer de bus autant de fois qu'on veux sans repayer (ou du moins dans le centre ville), ce qui est parfait pour les gens comme nous qui ne prennent jamais le bon bus.

Autant vous dire que ça a été sport, parce qu'effectivement on s'est trompé de bus, que là-bas les escaliers sont rarement roulants et qu'on était plutôt chargé.


On part, le soleil arrive

Comme on ne savait pas combien de temps ça nous prendrait en bus, on était partis bien en avance. Trop, en fait, puisqu'on est arrivé à l'aéroport au moins cinq heures avant notre vol.

Mais, grâce à ma Moumie et au petit échiquier qu'elle nous a offert pour notre départ, nous avons pu passer le temps.

lundi 11 août 2014

C'est reparti mon kiki !

Oui, je sais, ça va faire bientôt un mois que je suis partie, mais bon, on ne dira rien.

Voici enfin mon blog !

Comme je suis une flemmasse et que mon débit de mails s'élève à un tous les trois six mois, voici un moyen de vous faire part de mes trépidantes aventures de manière groupée.

Je vous laisse en prime une petite photo du Coso et de moi-même prise à l'aéroport de Genève par ma Moumie.